Très intéressant.
merci.

C'est très très intéressant.

J'ai lu aussi "Comment vendre une photo quand on n'est pas professionnel ? ", je ne sais plus ou j'en suis .

J'y reviendrai à tête reposée.

Parfait ce condensé!
merci beaucoup pour le partage !

sympa en effet :D

J'ai lu avec intérêt cet article sur ton blog...

C'est une vision intéressante, sur le plan du droit, de ce qui peut exister au niveau de la photographie...

Ces textes ne me semble que pouvoir évoluer avec la jurisprudence a venir, car nombre d'article lu me font penser, si ces derniers ne sont pas complétés et précisés, que certains professionnels risquent d'ester à l'endroit "d'auto entrepreneur photographe" sur la base de divers motifs, concurrence déloyale ou autres... Leur suffit d'entrer par la bonne porte du ou des textes.

Sur le plan pratique, ce milieu professionnel me semble des plus fermé, et il ne faut pas croire que le choix de l'un ou l'autre statut par un photographe qui veut se lancer dans cette activité vas lui permettre de vivre correctement de son activité. Il y a, a mon avis, beaucoup de prétendant et peu d'élu....

Pour beaucoup le statut d'auto entrepreneur peut être une solution temporaire pour être en règle au regard des diverses structures qui peuvent lui pourrir la vie s'il agit sans statut... Il faut y réfléchir dans le long terme (protection sociale, retraite et autres....).

Mais celui-ci, le statut, ne peut que concerner qu'une activité secondaire, qui, si elle devient principale, l'obligera a en choisir un autre. Un premier pas dans une activité libérale.

Je pense personnellement, que le statut d'auto entrepreneur en photographie sociale, répond par sa facilité de mise en œuvre à la protection de sa petite personne au regard des diverses administrations (URSSAF, Impôt et autres....) lors de la mise en place d'une activité complémentaire.

Il me parait évident, dans un premier temps, d'oublier la notion de rentabilité (matériel, usure, frais divers, bénéfices etc... .). Ce n'est pas un statut miracle, il faut le voir comme un moyen pour l'administration de récupérer certaines activités pratiqué au "black", donc d'engranger un peu d'argent, et pour celui qui opte pour ce statut d'être en règle avec les administrations...

En tout cas, ton article a l'avantage de présenter les choses avec la vision de "l'homme de l'art", l'avocate...

Le femme de l'art même, puisqu'artiste aussi ;-)))
Qui dit mieux ?? ;-)

Joëlle Verbrugge a écrit:Le femme de l'art même, puisqu'artiste aussi ;-)))
Qui dit mieux ?? ;-)

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Si on fait deux expositions par an et que les photos exposées intéressent des visiteurs on fait quoi ?

Si j'ai bien compris, pas plus de 30 exemplaires, tous signés et numérotés et déclarés sur la feuille d'impôts en bénéfices non commerciaux ?

L'essentiel de la réponse ici :
http://droit-et-photographie.over-blog.com/article-comment-vendre-une-photo-quand-on-n-est-pas-professionnel--42068058.html

Et pour la notion de "tirage original" :


http://droit-et-photographie.over-blog.com/article-tirage-original-tirage-numerote-oeuvre-d-art-etc--39299683.html

Bonne lecture :-)

Merci .

C'est ça le plus important:



Et ça aussi:

Un amateur ne doit pas hésiter à vendre ses œuvres mais il lui est conseillé, pour diverses raisons, de pratiquer les prix du marché.
Qu'il soit un peu moins cher qu'un professionnel, on peut le comprendre, mais il ne doit pas casser les prix.

Juste pour vous proposer un lien d'une analyse du statut d'auto entrepreneur....

le lien a suivre

Diaph, tu as bien résumé ma situation.

Pour ce qui est de vendre "au prix du marché", comment savoir ?

Il suffit de procéder comme les professionnels: se renseigner et fouiller sur le net.

tu regardes sur le site sur l'annuaire de Diaphounet et tu cliques sur les pubs